Introduction à la philosophie

 



La philosophie occidentale a commencé toute la pensée philosophique occidentale avec des affirmations métaphysiques. La métaphysique est l'étude du monde intangible. La physique étudie le monde tangible. (Pour les personnes non religieuses, la métaphysique étudie l’existence et est liée à la physique.) La métaphysique étudie les conditions dans lesquelles un monde matériel peut exister. Ses affirmations sont soit vraies, soit fausses. Les présocratiques ont fait de basiques affirmations de réalité. Affirmations comme tous à l'eau. Mais cela signifie littéralement. Ils signifient que la réalité est comme l'eau : tout est en flux, en mouvement. 

Les présocratiques ont appelé les milesians concentrés sur le désordre du monde.  Concentrent sur le sensoriel, le phénoménal. Le sensoriel est la base de l'épistémologie. L'épistémologie est l'étude de la connaissance. Quoi nous pouvons connaître. Logique et évidence sont deux types d'épistémologie. Quand nous combinons les deux, nous obtenons la méthode scientifique. Ses affirmations sont vraies ou fausses. Les éléatiques se concentrent sur l’ordre du monde.  Certains croient que changer n’est pas réel.  Elles croient que la raison était la base de l'épistémologie et de la réalité. 

Socrate a demandé qu’est-ce que le bon ? Un philosophe doit demander qu'est-ce que le droit ? Qu’est-ce que le bon ? C’est métaphysique et méta-éthique. Méta-éthique – Qui est approprié à des questions comme ce que sont le bien, le mal, le doigt et l'erreur. En ce qui concerne cette question. Si quelqu'un vous demande "Quoi est le droit ou bien ?" Tu dois répondre "Ça dépend de quelle théorie d'éthique !"

Metaéthique est axiologie. Axiologie – L'étude des valeurs. Ici, nous avons des esthétiques qui étudient la beauté et des éthiques qui étudient droit et faux. Ses affirmations peuvent être jugées par degrés. La partie suivante est l'éthique normative. Ce type d'éthique est approprié aux paramètres de bonne et mauvaise et de droit et pas de droit. Par exemple. Si je suis un déontologue ensuite, peut-être, je crois que le droit est cohérent avec la raison et que l'éthique est fondée sur la loi de la raison. 

La loi de morale est fondée sur la loi de raison. Ici, dans la théorie d'éthique, j'ai répondu à la question : « Qu'est-ce que le droit ?"  Le droit est un acte cohérent avec la raison. L'éthique et la morale dépendent de la raison. Aussi, le déontologue croit que l'éthique a besoin du concept d'autonomie. Je crois que la capacité à raisonner est nécessaire. Tu dois utiliser tes capacités avec science, c'est raison, mais si tu as la capacité, le fait que tu as la capacité doit être respecté. Je sais que les personnes utilisent mal leur capacité. Mais nous devons donner du respect. D'autres théories disent, affirment, différent, fondées sur le bien et le droit. 

 

L'utilitarisme affirme ce qui est le mieux pour chacun que nous devons soutenir. Le bon et ce qui est mieux, plaisir, connaissance, etc.  Cette théorie est conséquentialiste. Il se concentre sur les conséquences de l'action. 

 

Selon Mill, les plaisirs inférieurs sont inférieurs aux  plaisirs supérieurs, les plaisirs supérieurs sont élevés, les plaisirs élèves. Nous allons les abandonner occasionnellement. Les plaisirs inférieurs sont basiques, comme le sexe, manger, manger, dormir. Chose comme ça. Mais ce n'est pas suffisant pour le bonheur humain. Peu de personnes consentiraient à ce qu'ils deviennent un animal inférieur. Si quelqu'un a fait ça, si quelqu'un ferait ça, ensuite, ce serait un fou. Il n’y a pas une personne avec sentiment et conscience qui pourrait persuader de se faire. Les plaisirs supérieurs sont les choses comme lire, écrire, penser. Ce sentiment et ce jugement dérivent des facultés supérieures. Pour atteindre plaisirs supérieurs, quelquefois nous devons reporter plaisirs inférieurs.

 

Les deux Mill et Platon ont cru que "Les plus petits gemes de sentiment doivent être développés par la sympathie et l'éducation, entourés et renforcés d'un tissu serré d'associations, de corroborations, formées par l'influence puissante des sanctions extérieures »." Les deux croyaient qu'il y avait une société. Mill a dit que une menace à l'individuelle était une menace nuisible à toute la société.

 

La zone finale est éthique et pratique. Ce domaine se concentre sur les applications réelles.   Par exemple, est-il permis de mentir ?" Par le déontologue, il n'est pas permis, mais cet exemple passe un côté à l'essentiel. Une autre partie de l'éthique de la déontologie est le fait que le déontologue de Kant croit que nous avons un esprit et que l'esprit est connecté au monde nouménal. C'est un monde dans lequel Dieu existe, tu as raison ? Si nous agissons d'accord avec la raison, ensuite nous vivons la vie morale. Aussi, si nous reconnaissons que nos actions sont entièrement nos décisions, ensuite, nous sommes vraiment moraux. Ce n'est pas d'agir d'accord uniquement selon la raison, c'est d'agir avec autonomie et raison. Nous devons reconnaître que nous sommes partis de Dieu.

 

Aussi, ici sont quelques remarques d'article Introduction à la morale utilitarisme de John Stuart Mill par Pauline Hieu. "L'importance de la bonne conduite s'exprime par la relation à autrui, que le principe premier soit ou ne pas le bonheur général : car les hommes désirent le bonheur de toute façon et présent, très souvent, que leur façon d'agir personnelle à l'égard d'autrui et inversement, la façon d'agir d'autrui à leur égard, y contribuent." Pauline disait sur sanction extérieure. Pour 'Sanctions intérieures : le sentiment de devoir et sa liaison au sentiment social, La conscience morale' elle a dit "Mill dira que le sentiment du devoir est l'essence de la conscience morale lorsqu'il est désintéressée et liée à l'idée pure de devoir, c'est-a-dire débarrasser de cette diversité complexe et "ayant pour objet d'assurer la sécurité ou même l'existence de la société et de ses membres.""" Pour 'Le sentiment social (le partage qui donnez-moi intéresse) elle a dit "le désir de vivre en bonne harmonie avec nos semblables" et "Mill ajoute que le sentiment social et les sentiments moraux sont des sentiments acquis et naturels."

 

Tous les concepts philosophiques liés, référence à l'une des catégories. Il nous veut à penser sur l’intangible monde derrière certains concepts opérationnels que nous utilisons. Il voulait nous donner certains concepts de réalités importantes qui peuvent être justifiés et appliqués sans exception. Platon, en lien avec l'éléatique, a voulu que sa conception ait été appliquée à tout le monde. Le monde matériel est moins réel que le monde idéal. Selon Platon, le monde de l'idée est le monde des formes. Pas changer comme le monde phénoménal. Nous devons accéder au monde des formes avec raison. La raison est nécessaire pour vivre dans le monde réel.

Selon Platon, la raison est nécessaire pour l'organisation de la vie de l’homme.




 

La République

Les premiers thèmes de la République sont dans le premier livre. C'est un livre sur l'organisation du désir humain. Ça commence avec Socrate, venu sous le Piraeus. Socrate est avec Glaucon. Ils se rencontrent, ils se connaissent avec Polemachus et d'autres hommes. Les autres hommes ne vont pas permettre à Socrate de partir, il doit aller au chez de Polemachus. Ici, nous avons un problème avec la démocratie. Plus d'hommes peuvent forcer un individu à faire ce que les masses veulent. Polemachus est l'homme démocratique. Ils arrivent au chez de Polemachus et Socrate parle avec Cephalus , le père de Polemarchus. Cephalus  a dit à Socrate "Nous ne vous voyons pas à Piraeus." Cela signifie que le philosophe n'est pas avec l'homme démocratique ou la démocratie. Il y a un antagonisme fondamental.

Socrate a demandé à Cephalus  : « Comment es-tu, vie ?" Il a demandé cela parce que Cephalus  est vieille. Cephalus  a dit qu'il est content d'être vieux, car son désir est moins. Quand ils étaient jeunes, il faisait mauvais pour plus de personnes et il voulait du sexe et du plaisir. Maintenant, il est vieux et vous rend justice. Il veut payer les personnes pour qui il était cause de douleur. Il a peur pour son âme. Socrate a demandé, s'interroge Cephalus  sur la nature de la justice. Pour Cephalus , la justice est de payer vos dettes. Pour être juste, il a besoin d'argent et d'être bien en un sens modéré et donne les dieux à respecter. Cephalus  n'imaginent pas un pauvre homme qui est juste. (Mais Socrate est une contradiction). Pour Cephalus , la justice est donnée au peuple, quoi que vous deviez. Les conseils de Cephalus  n'ont pas pour les jeunes, ne peuvent pas aider les jeunes, car ils ne sont pas vieux. Socrate a répondu avec "qu'est-ce que vous avez une épée d'un ami, et son ami a perdu sa tête ? » Faites-vous donner, reviens à l'épée ?" Cephalus marche, il est quitté, s'éloigne, cartes de son point.

 

Quand Cephalus est parti, il donne l'argument pour son enfant Polemarchus. Polemarchus hérite de l'argument comme il hérite tout de son père. Aussi Cephalus et ses vieilles manières doivent partir pour que nous commencions à parler de ce qu'est la justice. Il a fait un appel à Simonides. Pour Simonides justice est de donner au peuple ce que vous devez. C'est la dernière fois qu'une personne dans les dialogues va faire appel à l'autorité. Polemarchus pense et dit que justice, c'est donner, c'est bon pour les amis et c'est mauvais pour les ennemis. Socrate a répondu :« Si tu veux trouver la nature de la justice, tu dois trouver quoi tu dettes aux autres personnes et quel type de chose ils doivent recevoir. » Nous devons aider nos amis, mais qu'est-ce que nous devons faire à nos ennemis ? Peut-on avoir des ennemis ? Polemarchus a dit que tu dois causer à eux des douleurs. Pour Socrate, comment peux-tu meilleure quelque chose donner que sa douleur ? Car, pour Socrate, la justice doit causer des choses pour être meilleure. Pour Socrate, le bon homme ne doit pas avoir d'ennemis, parce qu'il ne fait pas de douleur.

 

Thrasymachus arrive et il est décrit comme un animal. Il a demandé que Socrate donne un signifié à la justice. Thrasymachus est un homme tyrannique, un rhéteur. Thrasymachus et les personnes comme il veut, désir immédiat. Socrate prend du recul pour permettre que Thrasymachus parle de sa définition de justice. Thrasymachus, puis Glaucon, d'accord pour payer Thrasymachus, car il essayait de collecter pour Socrate l'argent, a donné sa réponse. Il a dit que la justice est l'avantage du plus fort. Pour Thrasymachus un leader est un leader parce qu'il a plus de pouvoir. Pour lui, la justice est le bénéfice le plus fort dans tous les domaines. Socrate a répondu que dans tous les domaines, le bénéfice est pour l'objet des domaines. Pour médecin, c'est aider les gens malades, pour enseignant, c'est aider les étudiants. Pour Thrasymachus c'est incorrect parce que le domaine au service est le technicien et pas l'objet. Socrate a répondu avec un exemple. Si le docteur voit un autre docteur faire un bon travail, fait-il arrêter lui ? Non, il va arrêter lui-seull s'il fait un mauvais travail. Le technicien veut mieux que le mauvais technicien.

 

Plus des Grecs ne voulaient pas un roi philosophe parce qu'ils croyaient, ils croyaient, que les philosophes corrompaient les jeunes. Beaucoup de Grecs préféraient l'héro homérique. Hommes comme Agamemnon ou Ajax. Ils ont cru qu'ils étaient de bons leaders. 

 

Une ironie du livre est que justice est faite à toutes les personnes faisant seules leur travail. Mais la meilleure personne, le philosophe, doit faire deux travaux, parce qu'un philosophe n'est pas un roi. Mais le philosophe est la meilleure personne pour gouverner la cité. C'est la seule personne avec deux travaux. La personne avec le plus de beaucoup, le plus de sagesse, le plus d'incitation, le plus de perspicacité philosophique sera forcée d'être roi, forcée de gouverner. Cette injustice sera une force pour le roi philosophe.

 

Pour Socrate, le vrai corrompt des jeunes, c'est la cité, Athènes. La philosophe sauve le jeune et tout le peuple avec une bonne éducation. La cité cause le corrompu et le scepticisme de moralité. Le sophiste était corrompu par la cité. S'ils donnaient une bonne éducation, ensuite, ils pouvaient être rois philosophes. Socrate et Thrasymachus ont tous un grand esprit, mais Socrate a une bonne éducation. Si Thrasymachus a une bonne éducation, il peut la sagesse de Socrate. Mais c'est comme le Paradis Perdu lorsque Satan était le plus grand ange du paradis jusqu'à ce qu'il ait tombé. Lorsque le grand tombe, il tombe très loin.

 

Les sophistes sont de grands esprits avec de mauvaises éducations. Ils essayent de plaire à tous, aux citoyens, aux politiques.

Quoi distingue le roi philosophe des autres personnes et ce qu'il sait, ce qu'il connaît, la voie, la forme de bon. La forme du bon est le vrai, immuable, éternel, pas tempéré et non espace. Dans cette bonne forme, tout autre chose dans notre monde participe. 

 

Quatre Divisions en métaphysique de Platon et le triadique de Peirce

Il y a quatre base divisions en métaphysique de Platon et il existe très correlates de Peirce.

 

Primaire

Première sont les ombres. Quand tu tiens ta main à un mur, tu vois une ombre. L'ombre est moins réelle que ma main. Platon les ombre, et chose comme ca sont moin réel. Ce royaume inclut quelque chose comme les  images, les ombres, les reflets, par exemple tu reflètes dans un miroir est moins réel que ton visage. C'est comprend, inclus le travail de poètes, sculpteurs, peintres. Parce que ces personnes travaillent avec les images. Quand nous voyons les images nous imaginons qui elles représentent. Quand j'écoute un chant, j'imagine les images qui le chant évoque dans moi.

Platon est similaire au Peirce et sa sémiotique. Dans son système triadique Primaire- un signe doit être connu dans sa qualites material.

Sémiotique est l'étude des signes. Il y a une différence entre un signe opérationnel dans le monde et un signe comme un type de signe. Quand un signe est en train d'être opérationnel dans le monde c'est plein de vie et il continue developper. Le signe bouge dans un processus historique. Le signe est toutefois mixte avec les autres signes que mixte avec son essence. N'est possible pour trouver un signe sans les autres signes. Tu ne peux pas analyser un signe sans ambiguïtés. C'est semiose - l'action du signe. La signe en tant que type du signe est un idée que essayée à donner un approximation (rapprocher) de la véritable action de signe. C'est toutes les idées, diagrammes sur le signe.

 

Est-ce qu'un signe ?

Selon Peirce un signe est une chose qui est déterminée pour quelque chose, appelé son objet, et il détermine un effet sur une personne qu'il a appelée son interprète. L'interprète est médiatement déterminé par l'objet. Un signe est une relation dans une relation triadique avec "l'objet" (la chose que le signe représente) et "L'interprète" (l'effet de signe).

 

Selon Peirce un signe dans un sens général est tout médium pour la communication ou l'extension de forme. Étant médium, il est déterminé par quelque chose, appelé son objet, et déterminer quelque chose, appelle son interprète. L'objet détermine le signe et le signe pour déterminer L'interprète à travers le médium de signe. Par détermination, je n'entends pas cause et effet. Tous les éléments de signe agissent simultanément.

 

1. L'objet détermine le signe et L'interprète a traversé sa forme.

2. Le signe, quel est le transporteur de ce signe.

3. L'interprète quel est l'effet de la transmission de cette forme.

 

Par exemple, un thermomètre détecte le changement de température. L'objet est la température qui fait un changement sur le thermomètre. Le changement sur le thermomètre cause un interprète ou L'interprète, s'il y a une personne ou une créature pour proposer une interprétation. L'interprète peut donner une interprétation à cause de son expérience avec le thermomètre. "C'est chaleur !" Le signe détermine L'interprète.

 

(1.) Un signe représente (2.) quelque chose à quelque (3.) L'interprète.

 

C'est le travail de signe à prendre la forme d'objet et à transmettre ce à L'interprète.

 

Est-ce que c'est un objet ?

Toutes les choses, pensées, rêves, émotions, etc. Je vais demander à un conseiller si l'objet de son diagnostic est ma santé mentale. Le diagnostic est un signe. Et l'objet n'a pas besoin d'être réel. Le signe ne représente pas son objet complètement. Il sélectionne quelques caractéristiques de l'objet. C'est une représentation biaisée. Un peintre sélectionne des caractéristiques qualitatives. Une empreinte choisie caractéristiques existentielles.

L'objet est toutes les fois en dehors du signe. Un signe doit représenter quelque chose pour une personne. Le personnel doit voir le signe comme un signe. Un signe seul a besoin d'un interprète qui est possible. La signification est la traduction d'un signe dans un autre système de signes. Pour la signification d'un signe, tu as besoin d'un interprète qui se présente lui-même comme un autre signe qui résulte de l'avis du primaire signe.

 

Pour exemple

Tu vois une voiture arrêter, tu vois les feux de freinage, ensuite tu arrêtes. L'interprète va créer un nouveau signe.

 

Le signe – est le feu de freinage.

L'objet est pour ralentir.

 

L'interprète est pour allumer les feux de freinage.

 

Un signe est un objet qui représente un autre objet dans l'esprit d'un autre.

 

Primaire-un signe doit être connu dans ses qualités matériel.

 

Deuxième – Les objets de perception sensorielle

2. Deuxième – Les objets de perception sensorielle. Pour Platon, les objets et la sensorialité ne sont pas réalisables. Par exemple, pense au concept de mirage. Tu vois l'eau dans le désert. Quand tu t'approches, l'eau disparaît. Platon dirait, il demanderait à vous : « Pourquoi vous faites confiance dans votre sens ? » Tu n'as pas de manière pour être sûr de ton sens. Avec l'état de science grec, c'est clairement pourquoi Platon a cru que la perception sensorielle n'a pas un basé pour la connaissance. Les objets changent, apparaissent, viennent d'en être et partent. Le meilleur que tu puisses avoir avec la perception sensorielle est les croyances. Les croyances sont basées sur l'expérience qui est basée dans ce sens. Tu crois qu'il y a un port là et tu crois que tu peux sortir du port. Mais le port pourrait être un tableau. Et tu marches dans un mur. Platon voulait une connaissance absolue.

 

Deuxièmement, un signe doit être connu dans son application purement démonstrative

Deuxièmement, un signe doit être connu dans son application purement démonstrative. Cela fait référence à la connexion physique entre le signe et l'objet. Le fait a été observé et la perception du fait qu'il était provoqué, causé par l'interaction physique. La connexion physique entre le signe et l'objet cause l'énonce, la déclaration provoque la déclaration pour être faite. Un énoncé, une déclaration est une phrase qui est vraie ou fausse. C'est une phrase déclarative ou une phrase composante qui pourrait représenter une phrase déclarative. Une proposition, dans un sens strict, est le signifié ou l'information contenue d'une phrase. Une proposition et une déclaration peuvent être utilisées de manière interchangeable. 

 

1. Similitude ou Ressemblance = icône

Une icône représente son objet, car la similitude de qualités qu'elles ont. Elle a semblé l'objet. Une pure icône ne fait aucune distinction entre l'icône et elle-même. Une dessine de personne référence une personne parce que deux ont des qualités similaires. Le dessin représente le personnage réel. Un squelette référence un squelette à un humain. 

Le dessin représente le vrai personnage. 

 

2. Matériel ou Connexion Causale = Indice

Cet indice représente l'objet par point à l'objet. L'indice fait le point à l'objet. Un trou de balle est un signe d'un tir. Le trou est un indice de balle. Un thermomètre est un signe de température. Le thermomètre est un indice de température.

 

3. Convention ou habitude/coutume = Symbole

Un symbole représente son objet par quelques habitudes ou conventions. Tous les mots sont symboles. Il n'y a pas une chose identique entre le mot et l'objet. Il n'y a aucun lien, aucune connexion causale entre le mot humain et un véritable humain. La connexion entre le mot et l'objet qu'il signifie est conventionnelle. Dans le monde naturel, il y a des couleurs qui signifient poison. Ce n'est pas un indice parce que les couleurs sont également utilisées pour déception.

 

Par exemple ;

Un carté est un signe d'un placer. C'est une icône parce que les formes sur la carte représentent les formes d'objets. C'est un indice parce qu'il fait référence à un espace réel. C'est symbolique parce que nous utilisons les couleurs pour représenter le terrain.

 

La connaissance est justifiée Vraie Croyance.

Le terrain est préoccupé par les questions :

1. Quelles sont les conditions nécessaires et suffisantes de connaissance ?

2. Quelles sont ses sources ?

3. Qu'est-ce que sa structure et qu'est-ce que ses limites ?

 

Le terrain de Justifier, croire, ce terrain cherche à répondre aux questions comme :

1. Comment sommes-nous capables de comprendre le concept de justification ?

2. Que fait justifie-quelle croyance justifie ?

3. Est-ce une justification interne ou externe dans les esprits de quelqu'un ?

 

Nous devons comprendre la connaissance en comprenant la différence entre la phrase et les propositions. Une phrase est déclarative. Cela signifie que les phrases peuvent être vraies ou fausses ou indéterminées. "Il y a un bureau devant moi."

Le contenu, le signifié de phrase sont des propositions. Une phrase peut changer, mais le signifié est le même.

"C'est un chat"

"Esta es una gata"

Deux phrases disent la même proposition et la proposition est vraie si l'énoncé correspond à la réalité.

 

Un état de l'esprit d'un haut-parleur envers une proposition qu'elle est en train de dire est appelé son attitude propositionnelle. Par exemple, S'il y a une voiture devant de moi et je crois qu'il y a une voiture devant de moi, ensuite, j'ai une attitude propositionnelle de vraiment. La chose doit exister matériellement.

 

La connaissance est justifiée par la vraie croyance.

Il y a trois parties

1. Vrai – un énoncé correspond à la réalité. 

(Si je dis qu'il y a un ordinateur devant moi, ensuite, il y a un observable ordinateur devant de moi.) Il y a une image d'objet physique qui existe en relation aux images de l'esprit. L'existence nécessaire d'objets concerne la métaphysique des énoncés (affirmations). La métaphysique est sûr de quoi elle existe par nécessairement.

 

2. Croyance – Attitude propositionnelle de vraiment

Directe envers un objet, par l'esprit, d'une manière que quelqu'un croit que l'objet a existé. La directe envers l'objet, aussi dit à une métaphysique, mais aussi à la théorie valorisée

 

3. Justifie – Des preuves (ce qui sert à établir qu'une chose est vraie), ou autre soutien pour vous argumenter.

La justification vient, se présente sous diverses, plusieurs formes.

1. Le témoignage est plus courant

Fréquent-préférable témoignage d'expert

2. Observation du premier personnage  

3. Relation avec les expériences passées

4. Argument logique

 

Définition.

 

Il y a une relation entre le signe et le monde.

Un signe est sur un objet.

Un indice est dans une relation causale avec l'objet.

1. L'objet a causé le signe directement

Une empreinte de pied représente un pied directement parce qu'un pied à cause de l'empreinte.

Un trou de balle représente la relation, l'évènement de balle allait traverser le mur.

2. Le signe est un produit, un effet de l'objet.

Un trou de balle s'est produit lorsque l'événement de balle allait traverser le mur.

3. Le signe est sur l'objet, référé à l'objet, représenté directement par la relation causale entre l'objet et le signe.

Une carte représente directement un lieu, un site.

 

Une icône ressemble à l'objet en quelques manières. Quelquefois, il n'y a pas beaucoup de différence entre le signe et l'objet. Une image partage plus de caractères d'objet que l'image représente. Un imagé d'une maison similaire partage des murs, des fenêtres, etc. Ou un trou de balle partage la forme de balle. Une empreinte de pied partage la forme de pied. Un squelette représente le squelette humain.

 

Un symbole représente l'objet par habitude, coutume ou convention. Un symbole est fondé sur une convention qui connecte un signe avec son objet. Avec les mots, nous appelons un chat, un chat en français et una gata en espagnol. C'est parce que la convention et n'est pas relative au chat. Le mot chat n'est pas relatif à un chat. La relation existe seulement parce que l'humain appelle, c'est l'objet 'un chat'.

 

Les symboles ont des caractères iconiques et des indices (index), mais pas tous. Par exemple, le mot "chat" est un signe de chat. Par l'indice, c'est parce que le mot représente l'objet qui est un chat physique. Mais le mot "chat" n'a pas quelques caractères iconiques avec l'objet physique "un chat".

 

Un exemple d'un symbole qui a des caractères iconiques et un indice (index) et un signe est un panneau d'avertissement sur un distributeur automatique de machine. Les caractères iconiques sont le contour, la silhouette d'une personne et la silhouette de machine. Le signe représente un personnage actuel et une machine actuelle.

 

"L'appartenance métaphysique se relève sans doute dans le thème auquel nous revenons maintenant : l'extériorité de l'indice à l'expression." (page 28). Pour Derrida et Husserl, un indice désigne simplement quelque chose sans signifier idéal. Par exemple, une empreinte de pas. Une expression désigne a vers un signifiant idéal. Par exemple, les mots. Mais deux désigne quelque chose parce que deux sont des signes. Je considère que le lien entre le mot et la chose qu'il signifie est arbitraire. Il existe également des expressions qui ont des caractéristiques indicatives. Des séries d'écrits sans signification, dénués de sens.

 

Troisième

3. Troisième – Mathématiques. Pour Platon et lui-même, tous les arguments doivent être basés sur les mathématiques. Quand Socrate réalise le pouvoir des mathématiques, c'est vrai, immuable, éternel, Socrate veut mettre toutes les choses dans cette forme. Parce que la mathématique est vraie, absolue, par un argument, pour être vrai, ce doit miroir la forme des mathématiques. Les gens n'ont pas d'opinions sur les carrés, squares ou triangles, cela est quelque chose qui conforme aux lois strictes. Platon veut arrêter tous les changements, il veut connaître pour être immuable, soit divin. Les mathématiques sont le pont qui nous permettra d'avancer pour bouger haut dans le monde des formes d'immeuble, d'immobile, immuable et éternelle. Le permanent, vrai objet de connaissance. Platon veut à la base la connaissance des mathématiques et pas la perception sensorielle.

 

Troisième-l' esprit pense que des signes sont connectés avec un objet d'une manière qu'il est possible de faire raison du signe à l'objet.

 

C'est réalisé avec le processus d'inférence. Une inférence, en un sens strict de terme, est le processus de la raison exprimé par un argument. Dans un sens large des termes, l'inférence est utilisée, interchangeable avec l'argument.

 

Logique

La logique peut être définie comme la science d'inférence ou comme l'organisme de connaissances ou science, qui évalue les arguments. Le but de la logique est de développer un système de méthodes et de principes que nous pouvons utiliser comme critères pour évaluer les arguments des autres et comme guides pour en construire nos propres arguments. Chaque argument peut être bon ou mauvais. Dans un bon argument, les prémisses soutiennent réellement la conclusion. Dans un mauvais argument, les prémisses ne soutiennent pas la conclusion lorsqu'il réclame pour la soutenir.

 

La logique consiste à expliquer beaucoup les différences entre la déduction, la méthode déductive et inductive, la méthode inductive. La déduction est le processus que nous utilisons pour raisonner, le processus qui consistait à raisonner du général au spécifique. C'est lorsque nous tirons une conclusion sur la base d'une règle générale. L'induction est un processus qui consiste à raisonner du spécifique au général quand tu tires une conclusion sur les bases de preuves.

 

 

 

Validité 

Un argument déductif utilise une affirmation qu'il n'est pas possible que la conclusion soit fausse si les prémisses sont vraies. Si l'affirmation est vraie et la conclusion suivie découle des prémisses, ensuite l'argument est valide. La conclusion suit nécessairement les prémisses. L'argument déductif va du général au particulier. 

 

Invalidité

Dans un argument invalide déductif, il est possible que la conclusion soit fausse si les prémisses sont vraies. Il n'y a pas d'arguments qui sont presque validés ou presque invalides. Pour prouver un argument de validité, premièrement, tu supposes que toutes les prémisses sont vraies. Ensuite, déterminez si c'est possible pour l'affirmation d'être fausse.

 

Solvabilité (Soundness)

Dans un argument qu'est la solvabilité solide, l'argument est valide et toutes les prémisses sont vraies. La conclusion est vraie aussi.

 

Insolvabilité

Dans un argument qu'est insolvabilité, insolite, l'argument est invalide et s'il a une ou plusieurs prémisses erronées. 

 

Prémisse fausse

Un argument qu'est la solvabilité, solide, peut avoir une fausse prémisse, seulement les autres prémisses sont vraies et soutiennent la conclusion. La conclusion est vraie aussi.

 

C'est la relation triadique du signe

L'effet que le signe produit dans l'interprète. Car ce pouvoir de représenter l'objet. C'est la relation triadique du signe, de l'objet et de l'interprète. Avec cette relation triadique, l'objet peut communiquer de l'information sur l'objet à l'interprète. C'est une corrélation décrivant l'effet communicatif de cette relation.

 

Un signe a besoin de l'interprétant.  L'interprétant ordonne les signifiées en d'un argument. L'ordonne de les donner en troisième zone. Le troisième est l'unité des zones primaires (qualité : couleur, forme) et deuxième (relation entre l'objet et le signe). La deuxième zone est purement indicative. Une girouette représente la direction du vent. Pour rougir représente, signifie, honte. Mais cette deuxième zone est également, aussi, inductive. Un signe peut être commémoratif. Par exemple, la fumée signifie un feu.

 

1. Le parti principal est la zone uniquement phénoménologique. Le point de vue naturel : je vois tout devant moi. J'écoute quelque chose, les sons autour de moi. J'entends, je sens, je goûte. J'entends de la musique. Je sens le moelleux du canapé. Je goûte le vin rouge, délicieux, et la pomme croquante.

 

2. La deuxième zone est indicative. La girouette signifie la direction du vent. C'est la zone des propositions, des déclarations de fait. Une chose, un objet, cause, provoque une autre chose, un autre objet. L'autre objet peut être une pensée. Un signe qui est un véhicule a causé un autre véhicule. Je vous vois rougir et je pense "« Elle rougit". » C'est une proposition, c'est vraie ou fausse.

 

3. La troisième zone est l'argument, de logique propositionnelle. Je dis "si ça, alors quoi". Ensuite, je dis 

1. Si P, alors Q

2. P

3. Alors qu'

 

1. Si je vois rougir, alors quelqu'un est en train de honte.

2. Je vois quelqu'un rougir.

3. Quelqu'un est honteux.

 

C'est organisé par la voix intérieure, la raison. Ce processus est répété, reproductible pour tous les signes. Pour qu'un signe ait existé, il a dû y avoir l'interprétant. Selon Husserl, le phénoménologique, tous les signes ont la capacité, le pouvoir d'indication. Une fonction indique est quand un objet ou un état de chose que quelqu'un a connaissance réelle, "indique" pour lui la réalité de certains autres objets ou états de choses. Elle croit dans la réalité d'une expérience (pas évidente) à cause d'une motivation pour croire dans la réalité d'autres. 

 

L'interprétant est nécessaire pour ordonner les propositions. Il applique une loi ou une règle. Mais pour ça, il est présent, sa conscience est présente. C'est signifie que son inconscient est absent, mais sa conscience signifie l'inconscience. C'est un système. Un signe produit une idée dans l'esprit, quelle est une idée ? C'est une idée que c'est un signe d'une chose, que cela signifie, et une idée est, elle-même, sa propre. Un signe par une idée est un objet et se représente un objet.

 

1.  Terme

Ce terme est un interprétant qualitatif. C'est la possibilité d'interprétation. C'est une interprétation qui est un sentiment. Si quelque chose nous fait sentir de quelques manières, ensuite, se produit un rhema. La musique peut nous faire sentir d'une manière. C'est un rhema. Un rhema peut communiquer des qualités possibles, mais il n'y a pas d'objet spécifié. Ce n'est ni vrai ni faux. C'est ce que certains ressentent pour vous. Vous voulez quelque chose, comme de la musique, et un autre déteste la musique. Un rhema n'offre pas l'information.

 

2. Proposition

Un signe-déci dit quelque chose sur le monde. Il s'appelle l'interprète de l'intention à quelque chose. S'offre un fait sûr, de quelque chose. Tu vois une empreinte numérique sur une fenêtre et vous comprenez ce qu'est un signe de la main d'une personne. C'est vous donner des informations. Le signe-déci fait une affirmation, réclame, revendique (claim) sur quelque chose dans le monde. Et l'affirmation, la déclaration, est vraie ou fausse. 

 

Considérer l'induction. L'induction est un test expérimental d'une certaine hypothèse. Chaque cas d'induction est un signe déci. Quand on fait un test sur des produits, nous voulons voir les qualités des produits. Nous pouvons tester le métal pour sa résistance et il réussira ou échouera.

 

La phrase "« Cette personne est américaine." La phrase peut être confirmée ou refusée.

 

3. Argument = pensée

Argument est une conclusion créée par l'unité de plusieurs propositions. Et établir la conclusion est nécessaire. C'est un effet de lois que l'argument produit. Il enseigne, montre ce que cette interprétation doit être et il nous guide vers la bonne conclusion, la conclusion correcte. L'argument est téléologique.

 

Par exemple,

Toutes les femmes sont humaines

Rhonda est une femme

Rhonda est humaine

 

Les propositions nous emmènent au de conclusion. Un argument est un ordre supérieur, une habitude supérieure. L'argument peut être une personne objective pour l'existence. Ou comment un système fait peut-être un argument.  

 

Tout est matériel

Selon Charvaka toutes les choses qui existent sont matérielles. Tout est matériel. L'esprit est matériel. Cela fait partie du corps. Cette philosophie est plus proche d'Hobbes. Charvaka dit que toute connaissance, a su, sont connues à travers les sens. C'est de l'empirisme et cela ressemble à Hobbes. Deux ont cru qu'il y avait un dieu. Et les gens désirent plaisir et pas souffrir. Cela ressemble à de l'hédonisme. Bouddha a dit la même chose, mais Bouddha a dit que nous souffrons parce qu'on désire. Selon Chavara nous avons des désirs naturellement. Nous sommes faits de désirs. Mais par Bouddha, nous sommes faits de l'esprit. Selon deux philosophes, l'esprit n'est pas permanent.

 

Je lisais le chapitre deux de Bhagavad-Gîtâ en espagnol. J'ai trouvé plus de références. Qu'ils se souviennent de moi, de références bibliques. Un personnage est un instrument de Dieu. Mes notes disent : « Elle es un instrumento de Dios". » Et les autres choses comme "El Ser existe siempre". La Grande être existe toujours. Je me souviens de Spinoza, particulièrement de cette phrase : « El Ser puede existe en otros cuerpos." Et "No lamentar porque los personas quién muerten tienen El Ser y El Ser es eterno". » Selon Spinoza, tout en réalité est fait de Dieu, tout est Dieu.

 

J'ai trouvé l'éthique de la vertu de Platon et d'Aristote "« correr de batalla es mas malo que la muerte". » Courir de bataille est très mauvais. J'ai compris parce que l'histoire est sur un homme parlant avec un dieu sur une bataille qui a été jugée juste, était déterminée pour être juste.

 

Je n'ai pas compris la référence au "yoga", mais je crois que je comprends maintenant. "Yoga" est atteint, parvenu, l'esprit tranquille, vous avez besoin d'obtenir clarté de tête. "para lograr el yoga debes alcanzar comprehension de causa de los opiniones."

 

"El Ser supremo puede nos libera de deseo para que las cosas desaparezcan." La Grande Être pu nous libérer des désirs. Je me suis souvenu de Kant. Si nous acceptons que nous sommes partis du monde nouménal, alors nous serons libres. Libre de nos désirs de monde phénoménal.

 

La fin parte dit quelque chose qui est plus familière aux bouddhistes "« Para paz abandona los nociones de 'Yo' y 'moi'". »

 

Quatrième

4. Le quatrième et finalement, c'est le monde des formes. C'est un monde d'idées. C'est le royaume final. Pour Platon, tu dois savoir les mathématiques pour comprendre ce royaume. Les mathématiques sont très nécessaires. Dans le royaume des formes, ce sont les plus belles choses. Dans ce domaine se trouvent les choses les plus réelles. Ironiquement, formes signifient quelques images ou idées. Mais c'est une idée ou une image dont toutes les autres images ou idées correspondent. L'image en premier niveau est une copie d'une quelque réelle ou d'une autre image. Dans le quatrième niveau, l'image ou l'idée est l'image ou l'idée d'où toutes les autres images ou idées viennent. Si tu as un livre ou une chaise, deux apparaissent différents d'autres chaises et d'autres livres, mais deux ont quelque chose à faire, eux, similaires aux autres chaises et livres. Ils partagent les mêmes qualités qui font d'eux livrés et chaises. C'est vrai parce qu'il y a un livre que tous les livres essaient d'imiter. Il y a une chaise que toutes les chaises essaient d'imiter. Tout participe dans la forme de livre ou la forme de chaise. Pour Platon, le monde des formes nous aide à expliquer, à réaliser le fait que le langage rassemble, en les termes communs, un ensemble hétérogène de perceptions sensorielles.

 

Méthode didactique

Si tu construis un niveau différent pour être, ensuite, tu dois construire divers processus mentaux pour passer d'un niveau à un autre niveau. Pour les deux premiers niveaux, tu ne peux pas connaître avec sûr, ils sont une opinion seulement. Mais tu peux connaître les autres deux niveaux, parce qu'ils ont une vraie connaissance. Tu fais déduction mathématique pour trouver les objets de mathématiques et pour trouver le monde des formes, tu fais dialectique. Une dialectique est un type de conversation rigoureuse. Tu parles sérieusement, et step par step, et essayes de trouver, de découvrir ce qui est passé. Ils parlent des meilleures manières pour faire quelque chose. Et ils vont du monde qui change le monde des formes.

 

Allégorie de la grotte

Dans l'allégorie, il y a des personnes dans les chaînes. Ils forcent à regarder les ombres. Et ils croient que les ombres sont réelles. Ces personnes sont comme les hommes avant la philosophie. Au-delà de ça, c'est le monde réel avec le soleil. Le soleil brille partout dans le monde, dehors. C'est la source du vrai. Les philosophes doivent aider les gens à briller pour voir le monde du soleil, le monde des formes.

A priori, les doctrines épistémologiques et ontologiques étaient assumées. Alors Platon explique ces doctrines. Platon était inquiet, s'inquiétait de l'impossibilité de philosophe roi. 

 

Pourquoi il ne peut pas exister ?

Pourquoi la cité idéale n'existe-t-elle pas ?

 

Pour Platon, il y a un problème avec notre réalité. Alors, Platon va présenter une autre réalité. C'est un monde en dehors d'espace et de temps. Là où existe vraie beauté, vraie justice. Ils existent là. Il a dit que le monde sensible, c'est un voile, un sillage, un vieil, ce n'est pas vrai. C'est moins sûr, moins permanent. L'autre royaume, l'autre place, l'autre lieu est un royaume de cérébral, de cerveau, d'esprit, de pensée, d'idées pures. Et il est séparé de notre monde d'espace et de temps. Car la cité idéale de Platon ne peut pas correspondre à notre monde, il y a problème avec notre monde.

 

C’est le travail de la philosophie de retourner au la caverne et d'aider ceux qui son cachés.

 

Aristote et le retournent aux choses elles-mêmes

Aristote les a soutenus que la substance, la forme, n'existent pas dans quelque monde en dehors de nous, qu'elles existent dans les choses elles-mêmes. Comme Husserl a essayé de faire, retourne aux choses de même". Le royaume de Dieu est dans toi. Les choses sont métaphysiques et pas ombres de métaphysique. Est la substance d'un être humain, une idée qu'elle a besoin de confirmer ou quel potentiel elle peut satisfaire pour être elle-même mieux propre. Pour Platon, l'humain est une ombre de forme et pas de forme. Pour Aristote, l'humain est deux formes et deux matériaux. Pour Aristote, l'éthique n'est pas conforme à un concept abstrait de justice. L'éthique est un équilibre de vertu qui est inhérent à la nature humaine.

 

Le but de la vie humaine

Aristote pensait que toute chose avait une fin. Toute chose avait un but. Un but vers elle tendait, elle va naturellement. Par exemple, une graine devient un arbre parce que la fin ou le but de fonction du grain est devenu un arbre. Plus de créatures font ça, pas, car ils veulent, ce n'est pas conscient, c'est dans leur nature. Aristote a cru que c'est vrai des humains également. Pour les humains, c'est eudaimonia, heureux. Ou une vie de satisfaction. C'est le but de la vie humaine. 

 

Vertu

Pour Aristote a cru, croyait que pour tu ne peux pas obtenir la vie heureuse sans vertu. Une vie de vertu est une vie vécue à la fois avec la phronesis, ou "la sagesse pratique" et l'art – l'excellence". Pour Aristote, le bien pour l'homme consiste dans une activité de l'âme en accord avec le (vertu)."

 

L'éthique doit nous aider à développer notre caractère pour devenir les personnes qui sont dotées d'une excellente sagesse éthique, car, de cette excellence, découleraient de bonnes actions et aideraient à développer une bonne vie. Tu dois te concentrer en étant une personne vertueuse. Pour Aristote, l'éthique est une science construite sur des principes rationnels objectifs qui pourraient être compris et découverts par la raison.

 

Quatre parts

Pour Aristote, l'âme humaine avait quatre parts :

1. Partie nutritive – responsable de l'absorption de la nourriture.

2. Partie sensible – responsable pour la perception et la réaction à l'environnement, y compris les désirs.

3. Partie motrice et appétitive : les apôtres qui motivent nos actions

4. Partie rationnelle – responsable de l'intellect et de la pensée.

 

 C'est trois choses essentielles pour l'être humain. Il y a une hiérarchie claire avec la raison au sommet. Raison de contrôler et guider les appétits vers une action productives et éthiques. La personne vertueuse est gouvernée par raison. 

Pour que tu arrives à comprendre quelles actions sont éthiques appropriées, tu dois utiliser la doctrine du juste milieu. 

1. Tu dois choisir une moyenne relative selon les circonstances.

2. Que le juste milieu dans une situation particulière peut être déterminé pour l'exercice de notre raison.

 

Tu dois choisir entre deux extrêmes pour agir vertueux. Tu dois choisir le mi-chemin entre deux extrêmes. Toutes les vertus morales sont moyennes entre des extrêmes. Par exemple, le courage est le juste milieu entre la lâcheté, qui consiste à fuir devant le danger, et la témérité, qui consiste à foncer tête baissée sans réfléchir. 

 

Les chrétiens aiment beaucoup Platon et sont les premiers chrétiens à s'intéresser à la philosophie de Platon. Augustine aime que Platon parle de l'unité de trinité.

 

Parce que L'islam Aristote est revenu à l'ouest. Et l'ouest est revenu au concept de substance, de l'esprit et de la dualité de nature humaine.

 

Tous demandent la nature du monde métaphysique, ensuite ils demandent comment l'épistémologie est conforme au monde métaphysique.

 

 

Modernisme

Le modernisme privilégie l'épistémologie au-dessus de la métaphysique. C'est appelé le tournant épistémologique – la Raison est la base de la réalité – c'est aussi appelé L'illumination — de l'Europe.

 

Dans la gloire de Dieu, nous devons être cohérents

Nous avons fait un contrat glorieux avec le Dieu extraordinaire. Un contrat pour le service. Nous sommes des créatures mécanistes. Nous ne savons pas d'esprits de chose phénoménale. Ces choses n'ont pas les âmes. Nous sommes des créatures mécanistes. Notre rêve est que les souvenirs se détériorent. Nos imaginations est une série dont les souvenirs se détériorent. Nous sommes détériorés. Mais notre langue doit être cohérente. Composé de parties liées et harmonisées entre elles. Quand le langage n'est pas cohérent, Dieu est en colère avec fureur et rage, parce que cohérent est le principe fondamental de tout. Les mensonges, la conduite des autres sans honnêteté et honneur est honteux, cause de honte, éprouvé de sentiment de honte. Dans la gloire de Dieu, nous devons être cohérents.

 

L'homme a créé la science et la politique. L'homme a créé le contrat. L'homme a fait le contrat parce qu'il ne pourrait pas vivre dans un monde dans lequel tous ont le même droit avec des pas limités. Dans le sauvage, tous ont liberté, mais dans le sauvage, tous ont liberté. Tous peuvent prendre tout le peuple. C'était un monde noir, plein de peur et de toutes les émotions qui accompagnent la prise de conscience d'un danger, d'une menace. Alors l'homme a créé le contrat. Avec le contrat, tous les hommes, toutes les personnes, de sous le contrat, sans égal.

 

Il y a plusieurs qualités que les gens doivent avoir. Toutes les personnes doivent être cohérentes dans toutes les pensées et toutes les actions. Agit d'une manière qui est cohérente. Souviens que nous sommes mécaniciens. 

 

La famille est le bas de la société. La femme, la mère, est le chef de famille. Elle donne à son père le droit de protéger. C'est la base, la fondation du contrat. Avec notre capacité rationnelle, nos saisons, avec notre intelligence, que nous devons abandonner notre droit pour nous à survivre.

 

Hobbes et le royaume de Dieu

Pour Hobbes, le gouvernement était un contrat entre les gens et le roi. Les gens l'ont donné ses droits au roi et le roi fait les décisions pour les peuples. Le roi est plus haut que les gens et les gens ont choisi les rois. De la côte, je comprends que si le roi ne fait pas bon travail pour les peuples, ensuite les gens peuvent choisir un autre roi. Pour Platon, l'état est aussi un royaume avec un roi qui a un pouvoir absolu. Mais les gens ne choisissent pas le roi. Je crois que les rois doivent choisir entre attendre ou non. Je pense que le roi est peut-être choisi par les gens aussi, ou peut-être par les gardiennes. De toute façon, il est le bien meilleur chef pour le royaume, car il n'a pas choisi, ils l'ont choisi.

 

Platon croyait que Dieu était la source de toutes les choses qui existent. Je crois qu'Hobbes pensait quelque chose de similaire. Mais Platon croyait dans les âmes et Hobbes croyait seulement en ce qui pouvait être vérifié par les sensibilités. C'est croire qu'Hobbes n'a pas cru en Dieu. Mais, s'il a fait, qu'il croyait que Dieu était la source de toutes les choses. Spinoza croyait que parler libre est démocratie. Hobbes croyait en un gouvernement gouverné, contrôlé par un roi absolu.

 

Selon l'article Hobbes : La République Christiana pour Jésus, de M. Oses Gorraiz, Hobbes a parlé de quatre erreurs. Premièrement, la manipulation de l'écriture pour dire que le Royaume de Dieu est même à l'Église qui est ici maintenant. Deuxième – Dire que les fantastiques créatures existent. Créatures comme les démons et les incorporeal. Troisième – Le mélange d'écriture et les reliques. Pour Hobbes, l'origine de la canonisation des saints est la païenne idolâtrie des images sacrées.

 

Quatrième – L'admettre des vieilles doctrines philosophiques. Dans une attaque claire contre Aristote, qui défendait le bon État, c'était un gouvernement qui devrait être gouverné par les lois, pour la loi et pas les gens. Hobbes soutient le contraire parce qu'avec l'idéologie aristoténne-thomasienne les gouvernements essaient de gouverner les pensées d'hommes. Et pendant l'inquisition, les gens à force ont accusé d'autres gens pour ses propres idées et pas ses actions. Et les actions pourraient être corrigées par la loi, mais pas les idées. Pour Hobbes, la loi s'appliquait seulement au public et pas au privé.

 

Pour Hobbes, quoi est droit s'il est cohérent au contrat. Pour Hobbes, les humains ont créé la moralité. Nous sommes des créatures qui peuvent utiliser la raison, nous avons sensibilité. Pour Hobbes, nous sommes créatures en train de lutter pour la vie, la nourriture et le pouvoir. Sans société, nous n'avons pas de moralité. Moralité de l'accord de personnes qui ne veulent pas lutter parce qu'ils ont été des deux côtés, fiables et forts. Sans société, tout a le droit de faire ce qu'il veut, mais ce n'est pas durable. Nous devons donner ce droit à une personne. C'est nous contracter avec le roi. Pour Hobbes qui est correct, une action est correcte lorsqu'il suit le contracter. Ce n'est pas correct quand une action est contre le contrat. Pour Hobbes, il n'y a pas un summum bonum, mais pour Kant également, Kant croyait que le summun bonum était possible. Mais pour Kant, une summun bonum pourrait être possible dans le futur. Le loin futur, nous pouvons avoir félicité et vertu. Pour Hobbes, il n'y a pas d'âme. Les seules choses qui existent sont les objets des sensibilités. Alors, il n'y a pas un summum bonum. Pour Glaucon, de République, et Hobbes, les lois émergées des personnes sont fatiguées avec la lutte, les guerres de tout contre tout (pour Hobbes, c'est le monde sans société) alors les gens ont créé le contrat qu'elle dit pour eux de donner à chaque autre respecté. Parce que deux ont été faibles et forts et personne ne veut être débile. Pour Hobbes, le jugement est suivi d'un contrat, pour Platon, c'est en utilisant la vertu, en étant équilibré dans vos actions que vous faites votre rôle dans la société. Hobbes ne pourrait pas échapper à l'examen des doctrines qui prétendent séparer le pouvoir civil du pouvoir religieux. Il représente donc un idéal religieux, nous introduit dans le royaume de la grâce, autorise une activité d'enseignement, mais est complètement privé de toute autorité politique.

 

L'interprète, de telle façon que semble conféré à ceux qui s'en trouvent les responsables une autorité venant directement de Dieu et qui, n'étant plus dès lors une délégation du pouvoir civil, pourrait entrer en conflit avec lui.

 

Lui donner une réalité sociale et politique n'est que subversion de sens. Le but de Léviathan était de rétablir le sens exact des mots. Hobbes voulait un retour au Christ. C'est pourquoi il a utilisé les mots "Royaume des ténèbres" et "Royaume de Dieu". Hobbes accuse ses peuples qu'il appelle instigateurs, ses trompeurs, ses idolâtres, ses imposteurs qui jouent le rôle de menteurs. Ils ont une conscience endurcie, c'est-à-dire contrairement à ce qu'ils savent.

 

Il y a quatre causes, Hobbes établit quatre causes dès le contenu de ces doctrines subversives. Première : l'abus de l'Écriture. Mésinterprétation de l'Écriture. Ce qu'ils disaient est faux, pour Hobbes. Selon d'Hobbes, pour quelqu'un qui a dit les erreurs, le royaume erroné de Dieu, justifié par l'interprétation tendancieuse de l'Écriture, ne peut se soutenir uniquement par une lecture erronée de textes sacrés. La seconde cause des ténèbres est la croyance en la réalité des fantasmes de l'imagination. En effet, l'Église de Rome a conservé bien des aspects de la démonologie des Païens, esprits incorporels des démons, culte des images, usage des cierges, processions diverses. Troisième cause des ténèbres : il parlait des vaines philosophies d'Aristote qui se propageaient dans les universités. Il y a deux erreurs : 1. D'abstraction, du monde réel, d'essences séparées. Et je crois qu'ils essayaient de faire les lois pour le contrôle des idées des hommes. Quatrième  – Hobbes voulait montrer l'incohérence du bric-à-brac idéologique. De résidus de passe, d'abstractions, de fables et de fantasmes.

 

Premièrement, Platon parlait de la caverne. La caverne était un lieu pour les hommes qui étaient dans les chaînes. Ces hommes étaient forcés de voir, ils ont forcé à voir les ombres. D'autres gens, les trompeurs, ont dit qu'eux, les ombres étaient la réalité. Ils les forçaient, l'homme les enchaînait à voir l'ombre. L'ombre de chat, de cheval, de chien étaient réelles. Également, dans la similitude Hobbes, le Royaume des Ténèbres est un lieu de méconnaissance, d'ignorance. Les prêtres de l'église donnent une mauvaise interprétation aux congrégations de l'église. Ils utilisent une interprétation erronée de la Bible. Hobbes a dit que les démons sont des constructions de cerveau. Hobbes continue à donner une critique du catholicisme. Selon d'Hobbes saints, reliques et images ne sont pas dans la Bible. Pour Hobbes, la politique de philosophie d'Aristote et de tous les Grecs est erronée. Pour Hobbes, l'âme existe seulement lorsque le corps est vivant. Hobbes a parlé de Galileo Galilei, et pourquoi l'église voudrait supprimer, effacer, le vrai, s’il est vrai ? Si quelque chose est vrai, ensuite, ce n'est pas contredire la Bible.

 

Descartes : « Je pense alors, j'existe ! »

Philosophique pensée sur la méthode de philosophie.

 

Pour Descartes, elle est venue à sa méthode par le doute. S'il fait doute de toutes les choses, il va trouver ce qu'il peut penser. La seule chose qu'il avait est son idée, sa raison, ensuite tout est basé sur cette raison. Avec logique, il a construit un système philosophique. Le pré-modernisme avait dit "J'existe (réclamation métaphysique) alors, je pense (réclamation épistémologique)" Descartes a dit "Je pense alors, j'existe »." Penser est la preuve de ce même.

 

Hume a pris le doute à Descartes plus loin. Il a fait une distinction entre l'impression et les idées. Impressions que nous avons de l'expérience du monde. Les impressions sont la relation entre un objet physique et une idée dans ma tête. Je sais que quelque chose existe, car je vois, j'entends, etc. Mais je ne peux pas dire que je sais que quelque chose cause un autre chose parce que le concept de cause est une idée et pas un objet. Les affirmations d'éthique sont comme le concept de cause. "Être", "Est" n'est pas "devrait". Tu ne vas pas de l'est" au "devrait".

 

Hume

Tu ne déduis pas les réclamations éthiques de la métaphysique. C'est empirisme, c'est scepticisme. Selon Hume, l'expérience est la base de toute connaissance. Kant voulait se réconcilier avec le rationalisme de Descartes et le scepticisme d'Hume. Selon Kant, il existe deux mondes. Nous devons faire une distinction entre le monde nouménal et le monde phénoménal. Le monde nouménal est le monde qui représente le monde comme il est réellement, le monde des idées, de Descartes.  Pour Kant, qui est droit et qui est cohérent avec raison. Nous avons une capacité pour raison, et c'est notre connexion au monde nouménal. Nous avons une potentialité à calculer les choses et à faire leur univers. Pour quelque chose, être, quelque action éthique, être incorrecte, signifie que quelque chose n'est pas à la raison ou à l'impératif catégorique. Une action est droite quand elle peut s'appliquer dans toutes les situations. Une action est mal quand elle est soutien pour contexte seulement. Un impératif hypothétique dépend de considérations sensibles et de considérations empiriques, ce n'est pas universel.

 

Kant et le summum bonum

Pour Platon, la dialectique est une lutte contre la mauvaise raison. Nous luttons, les arguments mal, jusqu'à ce que nous venions, nous arrivions à la vraie. Pour Kant, c'était similaire, mais je crois que Kant applique cette méthode à l'éthique également. 

 

Pour Kant, le summum bonum est félicité, c'est félicité et vertu. Mais, c'est atteindre, en vrai, dans le temps. Nous pouvons atteindre le summon bonum dans le futur parce que nous avons âme. Notre âme et notre capacité de raison nous connectent au monde nouménal ? 

 

Pour Platon, nous pouvons atteindre le félicite, le summum bonum en étant des gens de vertu. Mais pour Kant, pendant nous, vie félicite et vertu, mais ont une contradiction. Une contradiction que tu dois choisir entre virtuel ou heureux. Kant a dit choisir la vertu, parce que nous avons les âmes, nous pouvons atteindre le summum bonum dans le futur.

 

Le monde phénoménal représente le monde de change, le monde comme il existe dans nos impressions, comme avec Hume. Nous avons seulement accédé au monde nouménal. Il y a un mécanisme dans nos esprits appelé le transcendantal qui traduit le monde nouménal en l'expérience phénoménale. C'est comme des lentilles. C'est comme une usine qui transforme les produits en quelque chose que nous pouvons utiliser, mais nous ne pouvons pas voir les choses avant qu'ils soient transformés dans les produits. Nous devons faire confiance dans le processus de transcendantal. Tous nous avons et notre expérience, alors Hume était corrigé.

 

Mais nous devons faire confiance à ce que le transcendantal nous donne dans la forme de monde phénoménal, monde qui est vrai pratiquement. Nous n'avons pas une justification épistémologique d'en dire que nous réclamons que le monde phénoménal se traduise par le nouménal. Nous sommes concrètement justifiés que les lois de logique peuvent établir des règles communes de perception qui gouvernent l'esprit de tous et peuvent fonctionner comme des règles communes que tous les humains sont justifiés d'utiliser.

 

Hegel et les hégéliens

Selon Hegel, Kant ne résout pas le conflit de Descartes et Hume. Kant nous éloigne de la connaissance justifiée du monde nouménal et nous piège dans le monde phénoménal. Hegel a fait l'argument que l'univers fait de lui-même connu à nous dans la rationalité. Hegel a fait l'argument que la rationalité s'apporterait sa propre danse. C'est un monde phénoménal avec la dialectique. La dialectique est un processus historique où un groupe dans le passé soutient une idée particulière (thèse) ; dans ce cas, cette thèse est une anti-thèse. Quand le conflit de thèse et d'antithèse est résolu, nous avons une synthèse. C'est le dialectal. Tous les humains sont devenus plus rationnels. La perspective peut changer, alors ne croyez pas que nous sommes la plus intelligente génération. Pour Hegel, nous commençons par le religieux, ensuite nous sauvons du religieux par l'objectivité de L'éthique, ensuite nous serons sauvés de l'éthique par l'esthétique.

 

À la fin de la dialectique historique, nous aurons les mêmes croyants, etc. Selon La conservatrice, c'est où Marx a pris Hegel. Marx a mis le système d'Hegel sur sa tête et a commencé avec le matériel. 

 

Kierkegaard a pris Hegel et a mis la structure du religieux sur sa tête et se concentré sur l'individuel. Il a commencé avec l'esthétique, ensuite nous sauve de L'éthique par l'objectivité, ensuite nous sera sauvé de l'éthique par le religieux.

 

Le postmodernisme

Selon le conservateur, le post-modernisme existe et il privilégie l'axiologie. Je ne crois pas que postmodernisme est un terme qui est utile parce que les philosophes qui sont postmodernes sont en désaccord avec les philosophes qui sont analytiques. Par exemple, Derrida et Fodor sont d’accord sur la nature arbitraire du langage. Mais selon des conservateurs, le problème avec le modernisme était la séparation du monde numérique. Sans justification métaphysique, nous avons notre sensoriel. Nous pouvons protéger les gens qui nous soutiennent, nous devons ajouter nos valeurs au monde et ensuite essayer d'entendre le monde. Parce que le modernisme, les gens deviennent, sont devenus aveugle a les présupposés chrétiens qui existent aux bas des réclamations philosophiques. Nous existons dans un monde de compétition des modernismes. Les gens veulent quelque chose de spirituel, mais ils ne veulent pas comprendre comment obtenir cela.


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