Les vents du changement

 


 

 

 


Le Cris

 

 

 

Peur brûlante sur son visage.

Le souvenir des mains sur son cou

Les cris font tourne la tête. Un virage

Les cris du serrage des écrous

 

Il demanda à la fille «Es-tu curieuse?»
Ecrous serrant la gorge d’une mère

Il étouffe les chansons injurieuses.

La vie semblait éphémère

 

Sa puissance, un seul coup de pied

Elle souleva, l'esprit du feu

La soulevant fermement sur son pied

 

Elle montre ses bleus

à la loi. Elle monte dans la voiture

La justice viendra grâce à sa droiture

     


Le Manque

 

 

 

L'eau brillait, un verre tranquille.

Les pensées abondent, fourmillantes. 

J’ai vu les ombres: un verticille

mouvant. Le corps pétillant

 

Le manque de l'autre est le manque

que nous éprouvons. Des apparences

sont partout. Le mot est pétanque.

Une existence en transparence

 

Ce que nous ne voulons pas exaucer

Je dois concentrer. Je veux être libéré

du système qui nous fait saucer

 

Je dois retravailler. J’ai récupéré

ma vie. Car, il m’a frappé de stupeur

Car, je suis l’objet d’un soupeur

 

 

 

Le dessin représente le vrai personnage

Le terre noire et froide, le bâton rigide

résultant du badigeonnage

Un vie qui succombe à sa psychorigide

 

Expression, langage étroit, ecriture

étroite. Les feuilles deviennent mortes 

J’ai entendu les feuilles, leur tessiture

Je vois l’empreinte digitale. Je reste fort

 

avis robuste: rien n’est inaltérable

Exclu de la joie illimitée, j’ai appris

un contrôle vénérable

 

Les prophètes combattant le mal appris

Un esprit rigide peut vous tuer.

L’avis libre sait toujours avouer.

 

 

 

J'ai besoin de retourner, revenir

mes souvenirs me coupent.

Mes souvenirs m’enseignent a devenir

A me balancer. Elles me chaloupent!

 

Dans une ambiance agréable,

un environnement convivial. Le rival!

J’affronte le monde imperméable

Je regarde dans les yeux pointus. Ogival

 

fenêtre, vitrine décorée, ornée d'affiches

décorés d'affiches, sont les signes

qui forcent ma mémoire avec des aguiches

 

qui m’a dit que c’etait un guigne

Ce rouge cerise foncé, était un indice

Je n’ai plus rien pour un appendice

 

 

 

Les bâtiments en pierre, les fleurs 

mourantes sur des étagères aussi hautes

que des tours. Souviens-toi de l’heure

Il est né de l'éternité par sautes!

 

La peau brune de mes mains s’assèche.

Oshun a émergé des rivières bleues

Abẹ̀bẹ̀, sensualité est plu fort. La fleche!

J’ai vu les livres sacrés, o Morbleues

 

qui chante les louanges des Noirs,

mais parle contre l'Africain - blasphème

c'était écrit dans le grimoire

 

Le paroissien dit: le curé est le graphème

qui prescrit le baptême. Pour

nous, elle bat ce monde de vautours

 

 

 

Le postmoderniste n’est pas la personne

qui fait de la déconstruction. Il est lié

au logocentrique; il me sermonne

a l'illumination - un grande signifié

 

Un signifiant mouvant qu'ils attachent

aux empires de fer sans liberté

L'époque ou les homme cachent 

leur or. Les hommes m'ont fait disserté

 

sur les faits concrets qu'ils ont pratiqué

sur un champ tres fécond, 

fausses idées ont ete trafiquées

 

Ils ont éradiqué les concepts concurrents

Ils vivent dans un monde

de verre. Ils s’aventurent

 

 

 

En fait, tout est analytique.

Le feu va consumer le bâtiment.

Un dictateur plus une balle - paralytique

partie. C'est synthétique, la chatiment.

 

Le principe reste analytique.

Le châtiment pour la grande arnaque

Nous portons le masque Dionysiaque,

Celui basé sur le pouvoir -pataphysique!

 

Il a distrait tes yeux

alors qu'il peut

te couper la langue. C’est fini

 

Ses actions sont le catalyseur de feu.

Ses actions ont fait grimper les prix.

Peuvent-ils payer le prix?

 

 

 

 

Parfois un porte ouverte est fermée.

Elle garde sa distance, sent renfermée. 

de l'homme. Elle ne veut pas voir.

Je m'assois devant le portail, espoir

 

Le chat qui chasse la souris sans manger

Le sentiment de l'absence, insidieux.

Envie de l'orgasme. long pour Dieu.

Le chat qui chasse la souris sans manger

 

Un appétit sans objet, mais énorme.

Un faim de faim, sans but.

Un trou qui prend ta forme.

Il est protéiforme, cet attribut 

 

de masque. Il cache les sentiments

C’est un lieu de libération.

Le prix est châtiment

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