Le signe de vieil homme
Les signes sont partout, en tous les lieux. Un signe est le vieil homme qui crie pour aider alors que son fauteuil roulant est coincé dans un garage port. Le crie me bousculer dans mes oreilles c'est purement phénoménologique. J'entends, je sens, je goûte. J'entends de la crie. Ensuite le cri provoque une autre chose, un autre objet, une pensée. C'est indicatif. Je fais une proposition de réalité. Depuis ça, je fais un argument. Un argument est un ensemble de signes indicatif. J'ordonne, je commande les propositions. J'applique une loi, ou une règle sur les signes. Puis j'ai créé un grand signe. Une déclaration, un jugement, fondé dans les signes phénoménologique et indicatif. Je regardais au-dessous de ma fenêtre dans le sombre. Je n'ai pas vu à travers les briques. Mais je pourrais écouter le cri du vieil homme. Je n'ai rien fait. Il y a eu un appel à l'action et j'ai fait rien, mais regarde. Mes premières impressions, mon premier argument, était que le vieil homme était ivre. Un autre homme a demandé au vieil homme s' il était ivre, les vieil homme a répondu "NO, je ne suis pas ivre!" J'avais peur qu'il y ait un piège. Je me souviens du temps où j'avais volé. Le signe de souffrance du vieil homme indique, en moi, les signes, les souvenirs du vol, quand j'avais volé. Il était sombre et j'ai vu un homme marcher sur ma rue. Il m'a demandé de l'aide. Il avait besoin d'une légère allumette. Alors j'ai aidé. Alors que j'avais aidé il est sorti, a remis, a pris, sorti un arme noire de sa poche. Toute confiance dans l'humanité m'a quitté, à partir.
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